« Et maintenant, adieu bonté, humanité, reconnaissance… Adieu à tous les sentiments qui épanouissent le cœur…je me suis substitué à la Providence pour récompenser les bons… que le Dieu vengeur me cède sa place pour punir les méchants! »
Il y a des œuvres, et donc des auteurs, qui marquent à vie. René Barjavel fait partie de ces auteurs. J’ai grandi avec « La…
« Comme le dit le proverbe : « Les femmes, c’est comme les girafes, c’est dans les marmites qu’on reconnaît les raisins secs. »
« Trisomie : finalement, le mot était lâché. Brutal, cru… C’était comme un coup de poing dans le ventre, quelque chose qui vous cloue sur place, vous empêche de respirer, vous laisse KO… »
« Marche ou crève, c’est la morale de cette histoire. Pas plus compliqué. […] La tête, Garraty, le cerveau… Ce n’est pas l’homme ou Dieu, c’est quelque chose… dans le cerveau. »
« Elle soupira. Elle n’aimait pas mesurer les vivants. Les vivants se tortillaient, posaient des questions, regardaient son bras avec curiosité, tandis qu’elle se penchait et étirait son corps pour compenser l’étroitesse de son rayon d’action. »
« … les crimes ont presque toujours l’amour pour mobile. On est sur terre pour aimer, être aimé ou pour se consumer en amours impossibles et ici plus que n’importe où ailleurs ! «
Je cherche souvent de nouveaux auteurs prolifiques qui pourraient me permettre d’assouvir ma soif de lecture. Récemment je me suis mis en tête de lire…
Trois générations de femmes, un maître chanteur, un chat de mauvais poil, un faussaire, des plumes noires, des événements vieux de 30 ans, et des dessins représentant un homme gribouillé…
Grand débat des lecteurs, assidus ou non. Et si l’important c’était surtout de lire?
« Nous pensions que nous pouvions faire mieux. […] Mieux ne veut jamais dire mieux pour tout le monde, dit-il. Cela veut toujours dire pire, pour certains. »
« Je ne vais pas t’empêcher de partir, mais je ne sais pas si je pourrai te le pardonner. Joachim va nous quitter, je le sais, et je suis prête. Pas toi. »
« Il semblait vain de compter sur un arrêt du progrès scientifique ; la curiosité n’abdiquerait jamais au seuil de l’inconnu. »
« Je suis le capitaine Henri Villon, et je mourrai bientôt. Non, ne ricanez pas en lisant cette sentencieuse présentation. N’est-ce pas l’ultime privilège d’un condamné d’annoncer son trépas comme il l’entend ? »
« De mois en mois, des troupes, des armées d’émigrants, racolés ou enlevés par la police japonaise, disparaissaient des villes et des villages pour ne plus jamais réapparaître. C’était par milliers que ces Chinois avaient été entraînés vers de mystérieuses destinations par leurs dominateurs. »
« … comme il avait gardé sa capuche, il était impossible de savoir si son visage était aussi terrifiant que sa voix, tellement rocailleuse qu’elle aurait pu remplir une pleine pinte de cailloux. (Dans les environs, on considérait que plus un inconnu avait la voix rocailleuse, moins il était recommandable.)
Même quand on ne sait pas ce que veut dire RPG, FPS ou MMPORG, même quand on ne comprend qu’il puisse y avoir autant de boutons sur une manette, même quand on tourne la manette quand on joue à mario kart, il existe de très bons jeux vidéos passionnants et accessibles aux néophytes !
» Mais quand il se pencha pour voir le visage du petit sous le capuchon de la couverture il eut très peur que quelque chose se fût brisé qui ne pourrait pas être réparé. «
Trois planètes différentes, trois mondes hostiles, deux coups de cœurs et une déception…
J’ai toujours aimé lire. BD comme livres, je dévorais. Et pendant mon enfance/adolescence, il y a certains bouquins que j’ai vraiment adoré et qui m’ont…
« Des raisons, on peut toujours en trouver. Des bonnes ou des mauvaises. En pagaille. Mais c’est pas mon boulot. Il y a des spécialistes pour ça. … Et, franchement, je vois pas ce que je pourrai leur raconter. »
« Là où vont nos pères » est une BD de Shaun Tan, qui a pour sujet l’immigration et l’intégration. Le personnage principal est un père de…
