de Daria Schmitt
« Chaque année pendant sept jours, la cité secrète d’Ultréquinoxe, monumentale ville lacustre reliée au reste du monde par un pont immense sur lequel chemine le train Chimère-Express, ouvre ses portes pour un gigantesque carnaval. Des foules innombrables s’y pressent, non seulement pour s’y amuser mais portées par l’espoir : à Ultréquinoxe, il est en effet possible, le temps de la fête, de retrouver un disparu ou un être cher. »
(texte de l’éditeur)
Si les dessins valent le détour, j’ai eu bien du mal à finir la BD. Cela semble très sympa comme ça, mais l’histoire est vraiment trop perchée pour moi.
Je n’ai pas tout compris, et si j’aime bien les histoires compliquées en général, j’apprécie moins quand je ne comprends rien (c’est dit, en fait, je n’ai rien compris). Mais même ça, à la limite, pourquoi pas. Mais c’est lent, très lent, tout est lent, la ville est lente, les personnages sont lents, même les couleurs sont lentes! Je n’ai pas du tout accroché sur les deux personnages, ils m’ont passablement énervée…
Au final je me suis assez ennuyée, à essayer de comprendre des choses là où il n’y avait peut être rien à comprendre, je n’ai pas réussi à me laisser porter par l’histoire.
Le monde créé est pourtant intéressant, inventé de toutes parts, et je trouve que ça mériterait un tome consacré uniquement à la description de ce monde et à son fonctionnement….
Bref, sans plus car je pense que l’idée de départ est très bonne, mais c’est trop lent, et trop… flou.